Aidez-nous à préserver des archives exceptionnelles

Acquérir les œuvres de David Olère c’est recueillir de nouveaux documents contre les tentatives de déformation de l’histoire

Aidez-nous à préserver des archives exceptionnelles

Acquérir les œuvres de David Olère c’est recueillir de nouveaux documents contre les tentatives de déformation de l’histoire

Des dessins, peintures et sculpture

qui racontent l’enfer d’Auschwitz

David Olère, un artiste juif polonais est né à Varsovie en 1902. Il rejoint la France pour y apprendre la peinture et la sculpture. Déporté au camp d’Auschwitz-Birkenau de 1943 à 1945, il est désigné pour rejoindre une équipe de Sonderkommandos. C’est à ses talents d’artiste, appréciés par ses bourreaux, que David Olère doit d’avoir échappé à une mort programmée.
Hanté par les scènes atroces auxquels il a assisté, il consacre sa vie après-guerre, en France, à les reproduire de mémoire. Au nom de tous ceux qui ne sont pas revenus.

Les Sonderkommandos,
des déportés au cœur des crématoires

Chargés de transporter les cadavres à la sortie de la chambre à gaz puis de les brûler, ces déportés étaient les témoins directs de l’assassinat de masse des Juifs. Les nazis réservaient tous les trois mois aux Sonderkommandos le même sort funeste pour ne pas laisser de trace de la « solution finale ».

Ces 45 dessins, 5 peintures et 1 sculpture constituent un témoignage rare et fidèle, le seul réalisé par un témoin oculaire du processus d’extermination de masse.

Le Mémorial se doit de les protéger, comme autant de preuves à opposer aux tentatives de déformation de l’histoire de la Shoah. C’est pourquoi nous comptons sur votre soutien pour acquérir ces œuvres poignantes, reflets de l’enfer quotidien des déportés à Auschwitz.

Des dessins, peintures et sculpture qui racontent l’enfer d’Auschwitz

David Olère, un artiste juif polonais est né à Varsovie en 1902. Il rejoint la France pour y apprendre la peinture et la sculpture. Déporté au camp d’Auschwitz-Birkenau de 1943 à 1945, il est désigné pour rejoindre une équipe de Sonderkommandos. C’est à ses talents d’artiste, appréciés par ses bourreaux, que David Olère doit d’avoir échappé à une mort programmée.

Hanté par les scènes atroces auxquels il a assisté, il consacre sa vie après-guerre, en France, à les reproduire de mémoire. Au nom de tous ceux qui ne sont pas revenus.

Les Sonderkommandos,
des déportés au cœur des crématoires

Chargés de transporter les cadavres à la sortie de la chambre à gaz puis de les brûler, ces déportés étaient les témoins directs de l’assassinat de masse des Juifs. Les nazis réservaient tous les trois mois aux Sonderkommandos le même sort funeste pour ne pas laisser de trace de la « solution finale ».

Ces 45 dessins, 5 peintures et 1 sculpture constituent un témoignage rare et fidèle, le seul réalisé par un témoin oculaire du processus d’extermination de masse.

Le Mémorial se doit de les protéger, comme autant de preuves à opposer aux tentatives de déformation de l’histoire de la Shoah. C’est pourquoi nous comptons sur votre soutien pour acquérir ces œuvres poignantes, reflets de l’enfer quotidien des déportés à Auschwitz.

Des documents à préserver de toute urgence

Les œuvres de David Olère constituent un témoignage unique « de l’intérieur », un document historique incomparable, qui raconte la réalité crue du quotidien et de l’assassinat des Juifs au centre de mise à mort de Birkenau. Ils ont vocation à compléter les archives collectées par le Mémorial ainsi que celles remises par les familles. Ce sont autant de traces précieuses à conserver, autant d’évocations de vies brisées.
Demain, ce seront les seuls témoignages à opposer aux négationnistes. C’est pourquoi nous devons les recueillir et les protéger dès à présent afin que, dans l’avenir, le Mémorial puisse les transmettre aux jeunes générations via ses projets culturels et pédagogiques.

Aidez-nous à protéger la Mémoire des victimes assassinées

Le Mémorial est le plus grand centre d’archives en Europe dédié à l’histoire de la Shoah. Il détient déjà plus de 50 millions d’archives et peut compter sur son équipe d’archivistes et de documentalistes experts dans chaque préservation. Chaque document, chaque dessin, inestimables qui nourrissent notre mémoire collective, sont essentiels pour nourrir le travail des historiens et préserver l’histoire de la Shoah de l’oubli et des tentatives de relativisation et de banalisation.

Le Mémorial de la Shoah aujourd'hui, ce sont...

50 millions

de documents et
d’articles

400 000

photos – dont 16 000 photos
des déportés juifs de France

80 000

ouvrages et
périodiques

Des documents à préserver de toute urgence

Les œuvres de David Olère constituent un témoignage unique « de l’intérieur », un document historique incomparable, qui raconte la réalité crue du quotidien et de l’assassinat des Juifs au centre de mise à mort de Birkenau. Ils ont vocation à compléter les archives collectées par le Mémorial ainsi que celles remises par les familles. Ce sont autant de traces précieuses à conserver, autant d’évocations de vies brisées.
Demain, ce seront les seuls témoignages à opposer aux négationnistes. C’est pourquoi nous devons les recueillir et les protéger dès à présent afin que, dans l’avenir, le Mémorial puisse les transmettre aux jeunes générations via ses projets culturels et pédagogiques.

Aidez-nous à protéger la Mémoire des victimes assassinées

Le Mémorial est le plus grand centre d’archives en Europe dédié à l’histoire de la Shoah. Il détient déjà plus de 50 millions d’archives et peut compter sur son équipe d’archivistes et de documentalistes experts dans chaque préservation. Chaque document, chaque dessin, inestimables qui nourrissent notre mémoire collective, sont essentiels pour nourrir le travail des historiens et préserver l’histoire de la Shoah de l’oubli et des tentatives de relativisation et de banalisation.

Le Mémorial de la Shoah aujourd'hui, ce sont...

50 millions

de documents et
d’articles

400 000

photos – dont 16 000 photos
des déportés juifs de France

80 000

ouvrages et
périodiques

Des besoins exacerbés par
la crise sanitaire

Fermé pendant plusieurs mois durant l'année 2020, le Mémorial n’a pas été en mesure de collecter, indexer, numériser et archiver les lettres, photos, documents et autres souvenirs des familles.
Dès sa réouverture, il s’est retrouvé face à une masse d’archives sans précédent. Or, chaque jour compte pour mener à bien le travail visant à les préserver dans les meilleures conditions d’hygrométrie et garantir ainsi, leur pérennité.

Avec votre don, vous bénéficiez d’une déduction fiscale

66 % de votre don est déductible de votre Impôt sur le Revenu

(dans la limite de 20 % de votre revenu imposable)

75 % de votre don est déductible de votre Impôt sur la Fortune Immobilière

(dans la limite de 50 000 euros par an, lors de votre prochaine déclaration IFI)